On se focalise sur le fait de cette pandémie mondiale à finalement toujours et si souvent plus se méfier de l'autre, des autres. C’est grave
Coronavirus : responsabilités premières ?
Tout en bricolant sur un bon vieux Solex, tout à l'heure : il m'est venu une pensée puissante et claire - presque fulgurante !
Au préalable : je dois vous préciser que je ne suis ni adepte de fake news en tous genre, ni de cet abrutissement généralisé qu'opèrent bon nombre de Médias à l’heure actuelle, et depuis déjà de nombreux mois, en rapport avec ce très grave problème, il est vrai – mais pas le seul et l'unique problème, à l'heure actuelle - du Coronavirus.
Bon ; ceci étant dit, voilà :
Depuis des années déjà, on sent bon nombre de Nations, de populations de par le monde être très justement scandalisées, écœurées de ces crises économiques et financières frappant à répétitions… et de ces manques de partages évidents et criants qui naturellement en découlent (de travail, des rescousses naturelles et intellectuelles, de la parole, du pourvoi d'agir, etc.)
Le danger pour les possédants, pour les dirigeants divers et variés – tout du moins pour certains d'entre eux qui visiblement sont corrompus et qui ne veulent en rien partager un peu de leur avoir, de leur savoir, de leur pouvoir, et par la même consentir et même favoriser une belle et noble vie pour chacune et chacun d’entre-nous ?… le danger, donc : c'est de perdre leur place parfois si hautement gagnée et combattue (ou pas, d'ailleurs) ; ils ne pourraient ou voudraient finalement pas jeter aux oubliettes – en faisant ici un peu de sciences humaines – la peur ainsi que la jalousie qui visiblement les habitent si souvent, pour laisser place alors et par ce fait au développement (en eux, tout d'abord, puis autour d'eux) à la joie réelle et éprouvée de la fraternité, de la bonté de par le monde…
Sont-ils (encore) capables de cette prise de conscience et de cette ouverture véritablement porteuse de vie ?... Pour un certain nombre d'entre eux, j'en suis persuadé : oui !
Mais ils ne le font pas ; ou peu, ou pas assez... ils se raidissent et se focalisent, dans la plupart des cas, sur le fait de cette pandémie du Coronavirus, certes grave – et qui, il est vrai : entraîne toute la population mondiale à finalement toujours et si souvent plus se méfier de l'autre, des autres ; le doute et la suspicion sont introduits en termes de références, presque de dogmes ainsi que de vérité entre les personnes, dans les cas les plus extrêmes.
C'est grave ; très grave !
De plus, les possibilités de rassemblement de masses (manifestations) de réflexions intellectuelles, politiques, sociales, sociétales, globales et avisées des populations sont fortement ralenties, entravées.
Et où donc est le fond de ce que j'ai, là, à vous dire ?… Le fond, le voici : le Coronavirus viendrait des chauves-souris, du Pangolin, de toutes autres hypothèses encore ?... Et bien évidemment de ce centre d'expérimentation sur les virus de Wuhan, en Chine, dont certains sont absolument redoutables…
Qui a fait quoi ?!
Qui a fait sortir ce virus de la boîte – volontairement ou non – et comment, pour quelle (s) raison(s), si l'intention réelle et programmée était bien de nuire aux populations mondiales, et à très grande échelle, dans l'origine de cet acte qui serait alors ô combien meurtrier et absolument ignoble ?…
Des questions.
Graves.
Essentielles !
Ce que je peux vous dire, en tous cas – et je dirais même avec (presque) certitude : si effectivement de très grands groupes financiers corrompus et dangereux, dirigeant véreux, occultes, etc. ont sciemment mis en place une telle stratégie de mort (la diffusion volontaire du Coronavirus), mondiale, et à très grande échelle, c'est bien – non seulement pour asseoir encore un peu plus leurs pouvoirs, certes... mais encore parce qu'ils ont peur… oui, peur... et peur de quoi, de qui ?... De cette tension populaire justement, toujours plus croissante, bouillonnante – d'hommes et de femmes – s'enflant de par le monde et d'année en année... de tant et tant de personnes souhaitant, et de tout cœur, vivre tout court, et/ou vivre mieux tout du moins, en harmonie et en respect ainsi qu'en dignité les uns avec les autres.
Vivre en pleine et réelle fraternité !
Je vous le répète, c'est ici une hypothèse (la diffusion éventuellement volontaire et programmée du Coronavirus) qui m'est venue (et à bien d'autres personnes, également) soudainement, comme ça, ce matin, sans crier gare.
Mais, quoi qu'il en soit : nous devrions être bien nombreux et nombreuse, dès à présent et fortement, à crier gare non seulement face à cette pandémie virale, vous m'aurez compris – mais/et encore (et surtout !) face à cette destruction des liens et du respect premier que nous avons et que nous devrions avoir toutes et tous plaisir et joie d'avoir les uns avec les autres !
Jean-Marie Delthil. Bonny-sur-Loire, le 2 septembre 2020