La crise mondiale qui touche les finances et l’économie semble mettre en lumière leurs difformités,
et surtout la grave déficience de leur orientation anthropologique qui réduit l’homme à une seule de ses nécessités : la consommation.
Comme je le disais, nombreux sont les regards sur le discours de François du jeudi 16 mai 2013.
On trouve désormais ce discours sur le site du Vatican.