Réunir des états généraux dès que possible
"En France, les laïcs, mais aussi les prêtres et les diacres, disons "les baptisés", n'ont aucun lieu pour débattre tous ensemble, aucune instance où décider de
l'avenir de leur Eglise et de ses missions. Pour savoir ce qu'ile pensent, n'ya aurait-il que le sondage ?"
Pour pallier ce qu'elles considèrent comme une manque de parole dans l'Eglise catholique, Anne Soupa et Christine Pedotti, fondatrices du Comité de la jupe, ont annoncé dimanche à Paris la création d'une conférence des baptisés de France. Le texte fondateur lu dimanche indique le souhait de réunir "dés que possible des Etats généraux" .
La Croix 13/10/09
Avec ses 500 sympathisants, le Comité de la jupe ambitionne de représenter ceux qui ne veulent "ni partir ni se taire" afin d'empêcher le "schisme silencieux" qui parcourt l'Eglise. "Nous ne sommes pas des militantes féministes, se défendent les deux intellectuelles, posées, âgées de 52 et 62 ans. Mais c'est vrai que la place des femmes dans l'Eglise est emblématique de beaucoup de problèmes actuels : la non-représentation des laïcs, la discrimination envers certains groupes, la privation de parole."
Stéphanie Le Bars
Le Monde 10/10/09
Pour pallier ce qu'elles considèrent comme une manque de parole dans l'Eglise catholique, Anne Soupa et Christine Pedotti, fondatrices du Comité de la jupe, ont annoncé dimanche à Paris la création d'une conférence des baptisés de France. Le texte fondateur lu dimanche indique le souhait de réunir "dés que possible des Etats généraux" .
La Croix 13/10/09
Avec ses 500 sympathisants, le Comité de la jupe ambitionne de représenter ceux qui ne veulent "ni partir ni se taire" afin d'empêcher le "schisme silencieux" qui parcourt l'Eglise. "Nous ne sommes pas des militantes féministes, se défendent les deux intellectuelles, posées, âgées de 52 et 62 ans. Mais c'est vrai que la place des femmes dans l'Eglise est emblématique de beaucoup de problèmes actuels : la non-représentation des laïcs, la discrimination envers certains groupes, la privation de parole."
Stéphanie Le Bars
Le Monde 10/10/09