Soixante ans après la tenue de Vatican II, l’Église doit encore, approfondir sa compréhension de la mission que Dieu a voulu lui confier

Publié le par Michel Durand

Soixante ans après la tenue de Vatican II, l’Église doit encore, approfondir sa compréhension de la mission que Dieu a voulu lui confier

Dieu a tant aimé le monde de Jean-Marc Aveline

 

Je n’ai pas choisi personnellement de lire ce livre. C’est le responsable du Prado de france qui en a fait la publicité un vendredi à l’issue de l’eucharistie. Il s’en était procuré plusieurs exemplaires. Rien de plus simple que d’en acheter un. Ce devait être en janvier ou février. J’ai attendu la semaine dernière pour en commencer la lecture.

Dès les premières pages j’ai ressentie l’harmonie qu’il y avait entre son expression de la mission et ce que j’en dis notamment dans l’ouvrage de Goulven Jézéquel.

Ainsi, par exemple : « Mon engagement en tant que prêtre missionnaire dans l’Église vient du désir de voir la communauté des chrétiens vivre de telle sorte qu’elle donne envie à ceux qui ne se disent pas chrétiens de s’agréger à elle ». Librement. Par plaisir… J’en reparlerai dans des pages de ce blogue.

Avec cette page, j’invite tout simplement à en prendre connaissance. Dans quelques temps, je soulignerai en quoi je ressens que la pensée de Jean-Marc Aveline consolide mes propres réflexions. Je pense aussi pouvoir affirmer que je suis très heureux de constater des convergences avec les écrits de Christoph Theobald dont est rendu compte ici dans les pages déposées à l’occasion du petit groupe de lecture de « Le courage de penser l’avenir ».

Bref, je dois encore avouer que c’est un dialogue avec Robert Peloux, par téléphone (Robert, pradosien, habite Marseille), qui me décida à ouvrir ce petit livre. J’avais peut-être peur de n’avoir en lui qu’une expression de piété au service des fidèles chrétiens. Tel n’est pas le cas. Bref, j’y reviendrai. En attendant, rien de mieux que d’écouter Jean-Marc Aveline lui-même.

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