Il n’y a jamais de point final après le verbe aimer. On n’aime jamais à vide. Dans le vide, il y a les êtres. Les aimer, comme t’aimer toi-même
André Pérouze Les vœux de nouvelle année ! Ils sont, en fait, occasion de retrouvaille. J’ai cité François Brune le 9 janvier. Aujourd’hui, Henri Pérouze. Toujours des contacts obtenus avec les séminaires et colloques de Chrétiens et pic de pétrole. J’invite...