LA MESSE EN LATIN N'EST PAS UN RETOUR EN ARRIERE
Robert Beauvery me communique ce texte, courrier des lecteurs, envoyés au quotidien "La Croix".
Ça se dit, et même ça s'écrit, à bon droit d'ailleurs. Pourquoi ? Parce que la Messe Tridentine de Saint Pie V n'est absolument pas obsolète puisqu'elle figure dans le missel issu du Concile Vatican Il, et promulgué par le Pape Paul VI. Elle occupe la première place des 4 prières liturgiques. Ainsi, la célébration de la Messe Tridentine, en latin, n'est pas, en stricte rigueur du terme, un retour en arrière.
Ça se dit, et même ça s'écrit, à bon droit d'ailleurs. Pourquoi ? Parce que la Messe Tridentine de Saint Pie V n'est absolument pas obsolète puisqu'elle figure dans le missel issu du Concile Vatican Il, et promulgué par le Pape Paul VI. Elle occupe la première place des 4 prières liturgiques. Ainsi, la célébration de la Messe Tridentine, en latin, n'est pas, en stricte rigueur du terme, un retour en arrière.
Le problème pourrait surgir si le recours habituel à celle-ci cachait un refus, plus ou moins inavoué, du progrès réalisé par les nouvelles prières liturgiques.
A savoir :
1) l'usage des langues vernaculaires - comme à la Pentecôte, Ac.2
2) l'espace et le mobilier nouveaux: autel, ambon, siège de présidence, oratoire particulier pour les Saintes Réserves;
3) participation active des fidèles face au prêtre;
4) la sollicitation de l'Esprit-Saint, à deux reprises : sur les Oblats au moment de la Consécration et sur l'Assemblée...
Pour éviter ce refus du progrès conciliaire, il serait bon de se rappeler le 24è commonitorium de Saint Vincent de Lerins :
« Car, qui serait assez jaloux des hommes et ennemi de Dieu pour essayer d'empêcher ce progrès? »
Demain je vous communique la réflexion de Robert Beauvery sur les progrès dans l'Eglise.
A savoir :
1) l'usage des langues vernaculaires - comme à la Pentecôte, Ac.2
2) l'espace et le mobilier nouveaux: autel, ambon, siège de présidence, oratoire particulier pour les Saintes Réserves;
3) participation active des fidèles face au prêtre;
4) la sollicitation de l'Esprit-Saint, à deux reprises : sur les Oblats au moment de la Consécration et sur l'Assemblée...
Pour éviter ce refus du progrès conciliaire, il serait bon de se rappeler le 24è commonitorium de Saint Vincent de Lerins :
« Car, qui serait assez jaloux des hommes et ennemi de Dieu pour essayer d'empêcher ce progrès? »
Demain je vous communique la réflexion de Robert Beauvery sur les progrès dans l'Eglise.