La correction fraternelle - partager ma rencontre du Christ. Si ton frère (ta sœur) vient à pécher, va à sa rencontre

Publié le par Michel Durand

photographie d'Eric Bénetteau

photographie d'Eric Bénetteau

Dimanche 12 mars, je me trouvais avec un groupe de laïcs du Prado et nous avons médité ensemble sur la correction fraternelle. Je donne à entendre un des échanges que nous avons eu. Le niveau sonore n’est pas toujours adéquat ; il suffit de monter quelque peu le volume, ou de le baisser. 

Si nous avons particulièrement été attentif à l’évangile de Matthieu 18,15-20, il y eut aussi deux autres passages du Nouveau Testament. Que des passages difficiles !

 

Gal 1, 6-9 : Paul apôtre, – envoyé non par des hommes, ni par l’intermédiaire d’un homme, mais par Jésus Christ et par Dieu le Père qui l’a ressuscité d’entre les morts, – ainsi que tous les frères qui sont avec moi : aux Églises du pays galate.

Je m’étonne que vous abandonniez si vite celui qui vous a appelés par la grâce du Christ, et que vous passiez à un Évangile différent. Ce n'en est pas un autre : il y a seulement des gens qui jettent le trouble parmi vous et qui veulent changer l’Évangile du Christ. Pourtant, si nous-mêmes, ou si un ange du ciel vous annonçait un Évangile différent de celui que nous vous avons annoncé, qu’il soit anathème ! Nous l’avons déjà dit, et je le répète encore : si quelqu’un vous annonce un Évangile différent de celui que vous avez reçu, qu’il soit anathème ! 

 

2 Thessaloniciens 3,1-15 : Or, nous apprenons que certains d’entre vous mènent une vie déréglée, affairés sans rien faire. À ceux-là, nous adressons dans le Seigneur Jésus Christ cet ordre et cet appel : qu’ils travaillent dans le calme pour manger le pain qu’ils auront gagné. Vous, frères, ne vous lassez pas de faire le bien. Si quelqu’un n’obéit pas à ce que nous disons dans cette lettre, signalez-le ; ne le fréquentez pas, pour qu’il soit couvert de confusion ; mais ne le considérez pas comme un ennemi, réprimandez-le plutôt comme un frère.

 

Matthieu 18, 15-20 : Si ton frère a commis un péché contre toi, va lui faire des reproches seul à seul. S’il t’écoute, tu as gagné ton frère. S’il ne t’écoute pas, prends en plus avec toi une ou deux personnes afin que toute l’affaire soit réglée sur la parole de deux ou trois témoins. S’il refuse de les écouter, dis-le à l’assemblée de l’Église ; s’il refuse encore d’écouter l’Église, considère-le comme un païen et un publicain. Amen, je vous le dis : tout ce que vous aurez lié sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous aurez délié sur la terre sera délié dans le ciel. Et pareillement, amen, je vous le dis, si deux d’entre vous sur la terre se mettent d’accord pour demander quoi que ce soit, ils l’obtiendront de mon Père qui est aux cieux. En effet, quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux

Publié dans Eglise, Prado, évangile

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