Homélie de l'Ascension, 2 juin 2011

Publié le par Michel Durand

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Giotto di Bondone, Ascension, vers 1300

 

Et, sans crainte, dans le vide laissé par le rejet de Dieu nous pouvons prononcer le nom de Jésus, ce « nom qui est au-dessus de tout nom. » Il faut oser le proclamer avec humilité et respect. Non pas en ajoutant du tintamarre, du bling bling au bruit infernal où s’étourdit et se perd l'homme moderne. Mais en prononçant, loin de tout triomphalisme, le nom de Jésus à partir du silence du cœur profond que créent l'amour, la prière fidèle, la compassion et la bonté discrète. Car seul l’amour vrai, celui qui naît d'un cœur habité par Dieu, fait naître le silence où se murmure le nom de Jésus.

 

Lire ou entendre : c'est ici.

 

Voir le blog d'où provient l'essentiel de cette homélie ; mais avant, lire ou entendre complétement.


 


Publié dans Eglise

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J
<br /> <br /> Nuit et absence - pareille à la lueur - pas encore vue mais déjà préssentie - du Christ.<br /> <br /> <br /> Cher Michel,<br /> <br /> <br /> Merci pour ta belle homélie, qui repose, qui laisse une place claire à Dieu au fond de noc coeurs...<br /> <br /> <br /> Bien à toi.<br /> <br /> <br /> Jean-Marie.<br /> <br /> <br /> <br />
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