Quand le Christ tombe, l’accompagnement de Dieu marque un arrêt. Dieu n’est plus dans le mouvement, il envahit, il est là comme un ciel

Publié le par Michel Durand

Chemin de croix, peinture de Véronique Maire

Chemin de croix, peinture de Véronique Maire

Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? (Ps 21)

Tous ceux qui me voient me bafouent ;
ils ricanent et hochent la tête :
« Il comptait sur le Seigneur : qu’il le délivre !
Qu’il le sauve, puisqu’il est son ami ! »

Oui, des chiens me cernent,
une bande de vauriens m’entoure ;
Ils me percent les mains et les pieds,
je peux compter tous mes os.

Ils partagent entre eux mes habits
et tirent au sort mon vêtement.
Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin :
ô ma force, viens vite à mon aide !

Mais tu m’as répondu !
Et je proclame ton nom devant mes frères,
je te loue en pleine assemblée.
Vous qui le craignez, louez le Seigneur.

Voir le texte de Véronique dans un fichier PDF

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article