Hymne(s) à l’amour – aux amours – libres

Publié le par Michel Durand

Anne Wiazemsky – Hymnes à l’amour – Gallimard 1996

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Ce livre se trouvait sur une table à « toi d’écoute », lieu d’accueil à la maison paroissiale Saint-Polycarpe. Je l’ai lu. Agréablement.

Je n’avais aucune connaissance de l’auteur.

Pourquoi, alors, cette lecture ?

En quatrième de couverture, on y parle de François Mauriac, grand-père maternel de d’Anne Wiazemsky. Je pense avoir lu en leur temps tous les romans de F. Mauriac ; j’en appréciais le témoignage du chrétien tout en ne me sentant pas concerné par sa morale, tradi et bourgeoise, de bon catholique français. Seizième parisien, 18 avenue Théophile Gautier…

C'est donc le souvenir de Mauriac qui me décida à lire ces pages.

Dès les premières pages du texte d’Anne Wiazemsky, j’ai perçu la différence. Un souffle libertaire s’est installé dans les enfants Mauriac. La vie du couple, de la famille… ne sont vraiment plus ce que c’était, comme on dit !

 


Anne Wiazemsky est l’auteur des Filles bien élevées (Grand Prix de la nouvelle de la Société des Gens de Lettres, 1988), Canines (prix Goncourt des lycéens, 1993), Hymnes à l’amour (1996, prix RTL-Lire), Une poignée de gens (1998, Grand prix de l’Académie française), Mon enfant de Berlin, 2009.

 


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