Sachons voir et écouter les vérités que nous dévoile la beauté exprimée dans les créations artistiques contemporaines signifiant l’invisible

Publié le par Michel Durand

œuvre de Yolaine Wuest

œuvre de Yolaine Wuest

Cette page j’avais l’intention de l’écrire et de la publier hier. Mais je n’y arrivais pas tellement je me trouvais comme paralysé par divers médias révélant de nouvelles situations dramatiques concernant l’Église à Lyon. Tout aurait commencé avec l’enquête de l’Obs.

 

que je n’ai pas pu lire en entier n’étant pas abonné. Je me suis déjà exprimé sur ce sujet en écrivant que, quoiqu’il en soit, il faudra beaucoup de temps pour que l’Église locale retrouve quelque agréable crédibilité.

 

À l’issue de l’eucharistie clôturant la BASA 2019, plusieurs personnes se sont entretenues avec moi pour essayer de comprendre ce qui risque d’advenir à la prochaine biennale. Dans la conversation se sont, quasi inévitablement, glissées les questions qui touchent l’Institution ecclésiale marquée par les abus sexuels ou autres prises de pouvoir. J’ai alors entendu dire que l’Église (institutionnelle) aurait tout à gagner en se donnant les moyens d’écouter ce qui se vit dans les créations artistiques contemporaines. Qu’elle sorte de son enceinte fermée et ouvre ses portes dans un dialogue avec qui n’appartient pas au cercle ecclésial des habitués. Cela donnerait à penser à autre chose qu’à des problèmes de pédophilie ou d’homosexualité à l’intérieur du clergé.

Bref, cette conversation dont je n’arrive pas chasser le souvenir, m’invite à donner ici lecture du livre d’or de la biennale visage de l’invisible. Une autre porte s’ouvre.

 

Livre d’or, octobre-novembre 2019

Cette biennale 2019, visage de l’invisible, est une belle invitation à regarder la profonde intériorité du créateur, l’artiste et sa propre intériorité.

 

Dans cette exposition trois artistes ont retenu mon regard :

- Yolaine Wuest, pour ses traits de lumière sur fond noir / tableau Devenir

- Martine Reverchon-Billot, Images du minuscules

- Karl F. Stewart, quelques rayons de lumière révèlent le bâtiment.
 

Quelle découverte… l’invisible est partout ! Cette exposition nous ouvre vers une nouvelle approche de ce qui nous entoure.

 

Superbe exposition !

Une mention spéciale au travail d’Isaure de Larminat, Lamy qui nous a particulièrement touché.

2019. Une magnifique continuité depuis la Sainte-Famille, Saint-Polycarpe, Saint-André.  Surtout, que ces biennales d’art sacré perdurent. Elles sont indispensables.

Merci pour l’exposition : avec mes remerciements les plus sincères.

Merci

Merci

Merci pour votre générosité, pour la transmission de la lumière.

Superbe expo. Merci

Magnifique exposition. Je suis enchantée par toutes ces belles œuvres, chaque artiste ayant trouvé sa propre couleur pour parler de l’invisible. Bravo !

Très belles œuvres, une joie. Merci.

Toujours aussi émouvant avec de très belles œuvres. Merci de persister pour que l’œuvre d’art reste liée à la beauté.

Exposition variée et très inspirante. Merci.

Des œuvres présentées qui poussent à la spiritualité. En plus, les découvrir dans un tel cadre, c’est une grande richesse supplémentaire.

Merci pour de très belles photos.

Continuez cette belle mise en lumière de cet art du sacré et de chaque instant.

Magnifique. Continuez de nous faire voir l’invisible. L’art est aussi une prière.

Exposition très brillante où la lumière surgit dans chaque œuvre, de manières différentes

Merci pour cette très belle expo avec des artistes très variés pour traiter de ce thème mystérieux et surprenant, où l’invisible, grâce à eux, me semble visible.

Exposition qui « touche » juste. Exposition à renouveler dans nos églises. Indispensable. Cette exposition tisse des liens, ouvre des portes dans ce lieu religieux et scolaire. Elle apporte des opportunités à ne pas manquer.

Merci pour ces quelques petites pépites de grâce.

Très belle exposition

Merci à tous pour ce beau et bon moment.

Remarquable exposition, pleine d’expressions et de talents. Un plaisir ; une rencontre onirique, des surprises… une réussite.

Rayons de lumière dans cette chapelle-écrin pour révéler l’âme.

Très belle chapelle au silence éloquent. Le concert de chant grégorien en fut le joyau.

Bravo !

Très belle expo, riche en créativité

Petite merveille de voir toute cette beauté et cette richesse. Bravo.

Bravo… Merci… à dans deux ans.

À toute l’équipe de la BASA.

J’ai trouvé cette édition de la BASA formidable.

La spiritualité sous-jacente est très féconde.

La diversité et la qualité des œuvres sont formidables.

Le travail des jeunes est très complémentaire.

Ça a été pour moi un grand moment de plaisir.

Au moment de la clôture :

Dommage, je pensais avoir le temps de voir avant le décrochage des oeuvres, mais étant pris dans les intempéries iséroises, je n’ai vu que des murs vides. Mais, bon je suis avec vous pour terminer cette dernière biennale. Pourrai-je le rattraper sur un catalogue en ligne ?

Merci pour tout le travail fait et d’avoir sensibilisé les élèves de l’école.

Et continuez la biennale

Merci. Mais j’apprends que la prochaine biennale pourrait ne pas avoir lieu. Quelle mauvaise nouvelle ! Tout ce savoir qui se perd ! Pourquoi ?

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