Vous ne pouvez pas encore communier avec nous,… mais cela va bientôt être possible. Je suis pour cette ouverture. Un moine en janvier 1997 

Publié le par Michel Durand

Vous ne pouvez pas encore communier avec nous,… mais cela va bientôt être possible. Je suis pour cette ouverture. Un moine en janvier 1997 
Vous ne pouvez pas encore communier avec nous,… mais cela va bientôt être possible. Je suis pour cette ouverture. Un moine en janvier 1997 

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Je suis vraiment sensible à cette rencontre entre le patriarche Tawadros II qui a pris, place au même niveau, aux côtés de l’évêque de Rome François sur l'estrade de la place Saint-Pierre.

 

<< Comme un symbole, c'est le patriarche d'Alexandrie qui a pris la parole en premier, souhaitant «adresser ses félicitations, au nom des membres du Saint-Synode et de tous les organes de l'Église copte orthodoxe, à l'occasion du dixième anniversaire de votre élection divine en tant que Pape et évêque de Rome». Tawadros a dit prier pour François, «pour que le Christ vous préserve en pleine santé et vous accorde la bénédiction d'une longue vie». Dix ans après sa première venue au Vatican, le patriarche copte est revenu sur la solidité de ces relations fraternelles cultivées jour après jour avec Rome. Cette journée d'amitié entre coptes et catholiques «incarne l'esprit chrétien et l'amour qui nous unit pour servir Dieu et servir nos frères et sœurs en humanité». >>

Voir ici.

 

 

<< Dans son discours, le Pape François a estimé que dans «le voyage œcuménique», entre catholiques et orthodoxes, «il est important de toujours regarder vers l'avenir. En cultivant dans nos cœurs une saine impatience et un ardent désir d'unité, nous devons, comme l'apôtre Paul, "nous pencher vers l'avenir" (cf. Ph 3,13) et nous demander continuellement: "Quanta est nobis via?"- Quel est le chemin qu'il nous reste à parcourir?». >> Voir ici.

 

 

 

Je ne peux que me rappeler la semaine que j’ai passé dans le monastère Saint Macaire (Abou Makar). Les conversations que j’avais, en français, avec un jeune moine nommé Irénée me plaçait dans ce climat ecclésial. « Actuellement, vous ne pouvez pas participer pleinement à l’office eucharistique, notre évêque ne le permet pas, mais cela va bientôt être possible. Je suis pour cette ouverture », me disait Irénée.

Je vous invite à suivre ce lien pour retrouver les traces de mon séjour en ce monastère copte.

 

 

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