L’Église, acceptant l’argent de l’État et des dons, dialogue avec les créateurs d’art sacré contemporain, se libère du « faire comme avant »
J’ai déjà beaucoup parlé de Notre-Dame de Paris. Je continue à me réjouir. Pourquoi cette satisfaction ?
Ma réponse à cette question est délicate. Orgueilleuse ! Mais que je sois sincère.
Si je regrette que, membres de Confluences/Résurgences, je ne sois pas arrivé à maintenir les expositions d’art sacré actuel (contemporain) dans les grandes et belles églises de Saint Polycarpe (pentes de la Croix Rousse) puis de Saint-André (La Guillotière) à Lyon, je me réjouis de voir que des responsables d’Église, politiquement au plus haut niveau, ont sincèrement dialogué avec des créateurs vraiment contemporains.
Venir ici pour plus d’infos sur les biennales d’art actuel à Lyon (BASA).
Ou encore ici, chez Narthex.
…. Et enfin ce lien qui donne, selon une regard extérieur à moi-même, un historique des BASA.
Je reconnais que nous ne sommes pas arrivés à Lyon à sortir d’un public restreint comme l’indique divers sites internets comme celui-ci, mais je me réjouis d’avoir pu dialoguer avec de nombreux créateurs et visiteurs.
De plus aujourd’hui je me réjouis, chrétiennement parlant, je rends grâce de voir la présence de l’Église à Lyon à l’intérieur des évènements de la biennale d’art contemporain de Lyon 2024.
Et j’invite à venir contempler les créations de Mikaël Frontini au 6 avenue Adolphe Max, 69005 (vieux Lyon), espace de l’Église catholique de Lyon.