Vers l'être
Quoi qu'il en soit, il faudra bien un jour ou l'autre accepter de limiter la croissance - en tout cas de "rationaliser" l'économie car la nature est épuisée, les déchets s'accumulent, la vitesse et la précipitation déboussolent ou tuent.
Si la misère est un mal, la pauvreté, elle, est une vertu. L'esprit de pauvreté nous fait aimer le manque, la sobriété, la simplicité. Se contenter de, se satisfaire de la présence à soi, à autrui, à Dieu. Voilà des objectifs qui nous délivreraient des addictions, des envies et des vanités...
C'est un peu tout cela que nous faisons rutiler dans nos poèmes Chants journaliers... en célébrant la nature, la création divine.
Notre culture doit retourner à l'essentiel et prôner un modus vivendi qui nous délivre des vains désirs.
Bien à vous.