Les "fidèles" de la gauche sont de moins en moins fidèles à l'Eglise
Voici, ci-dessous, un bref échange dans la ligne de ces pensées sur l’Eglise.
Michel Durand : Ma réflexion dépend sans aucun doute des multiples rencontres et lectures que je peux faire, lectures choisies en fonction de mes intérêts et convictions. Jean-Luc Macia, dans l'éditorial de la Croix du mardi 6 mars 2007, écrit : « Le nombre des personnes se déclarant catholique, on le sait, continue de diminuer. Il est possible que les premiers à quitter le giron du catholicisme fassent partie des "progressistes" que l'Eglise a patiemment conquis pendant le première moitié du XXe siècle, notamment à travers les actions de l'ACO, de la JOC ou de la CFTC. La part des partisans de la gauche se restreindrait ainsi parmi la population catholique ». Cette hypothèse demande à être confirmée ou infirmée , surtout il convient d'élucider et de dire clairement ce qui provoque des départs qui se pratiquent souvent, comme en le dit, sur « la pointe des pieds », alors que le visage d'une Eglise affirmant son autorité et sa vérité est tendance. Plus que l'affirmation : qui peut prétendre connaître Dieu ? c'est la recherche qui est sur le sentier du vrai.
Jonathan : Les fidèles de gauche ? pour eux c'est dur... surtout s'ils sont Socialistes, il leur faut voter pour quelqu'un qui revendique ne pas croire en Dieu ! Je pose d'ailleurs la question sur mon blog, un chrétien peut-il voter pour un incroyant ? J'ai fait une expérience avec Jésus-Christ. Tout le monde peut la faire... même dans l'intimité de sa chambre. Il suffit de se reconnaitre pécheur devant Dieu, de lui demander pardon, et de recevoir Jésus dans son coeur comme son Sauveur et son Seigneur. J'ai reçu une telle joie et une telle paix, que je ne puis douter de lui.
Un Lyonnais : L'Eglise ne peut pas garder son universalité si elle devient uniquement fréquentée par des personnes sociologiquement homogènes, en l'occurence la bourgeoisie de droite. La grâce de l'Esprit est de permettre à des personnes différentes de communiquer autour de la table dressée par le Christ malgré leurs différences et en s'enrichissant mutuellement de ces dernières. La « ghettoisation » de l'espace et la fragmentation de la société conduit des zones entières à être déchristianisées, notamment les secteurs habités par des populations modestes. La bourgeoisie qui a vu germer en son sein de grandes vocations n'a pas le droit de choisir le repli communautaire, et devrait envoyer des laïcs missionnaires dans les paroisses les plus en difficulté.
Jonathan : Les fidèles de gauche ? pour eux c'est dur... surtout s'ils sont Socialistes, il leur faut voter pour quelqu'un qui revendique ne pas croire en Dieu ! Je pose d'ailleurs la question sur mon blog, un chrétien peut-il voter pour un incroyant ? J'ai fait une expérience avec Jésus-Christ. Tout le monde peut la faire... même dans l'intimité de sa chambre. Il suffit de se reconnaitre pécheur devant Dieu, de lui demander pardon, et de recevoir Jésus dans son coeur comme son Sauveur et son Seigneur. J'ai reçu une telle joie et une telle paix, que je ne puis douter de lui.
Un Lyonnais : L'Eglise ne peut pas garder son universalité si elle devient uniquement fréquentée par des personnes sociologiquement homogènes, en l'occurence la bourgeoisie de droite. La grâce de l'Esprit est de permettre à des personnes différentes de communiquer autour de la table dressée par le Christ malgré leurs différences et en s'enrichissant mutuellement de ces dernières. La « ghettoisation » de l'espace et la fragmentation de la société conduit des zones entières à être déchristianisées, notamment les secteurs habités par des populations modestes. La bourgeoisie qui a vu germer en son sein de grandes vocations n'a pas le droit de choisir le repli communautaire, et devrait envoyer des laïcs missionnaires dans les paroisses les plus en difficulté.