Manque ? ou manque ! d'Eglise

Publié le par Michel Durand

Parmi les personnes qui préfèrent l’écriture non virtuelle, c’est-à-dire avec le support d’un papier, je viens de recevoir cette page de CV. P. . Je suis heureux de vous la communiquer.

Brèves réactions au sujet du blogue « Manque d’Eglise »

Elle est un commentaire du pied de page : « Manque d’Eglise ? » ou « manque d’Eglise ! »

C. P. :
Je suis tenté d’opter pour le « ? » Il est nettement plus clément que le « ! » qui appelle le jugement.
Devant notre histoire très très longue de la mise en place de la terre dans le cosmos et finalement très courte par celle que nous connaissons, nous sommes tout petits et ne savons que pensez !. Car, en fait, devant  les millions d’années que nous brassons allégrement, notre père Abraham nous précède de 5000 ans ; c’est très peu au regard de ses prédécesseurs.
La genèse de l’Ancien Testament organise un point de départ avec nos parents, Adam et Eve. Mais, où et quand ? mystère.
Jésus, Fils de Dieu, est venu pour nous sauver du mal, il y a deux mille ans. C’était hier.
Pendant 20 siècles, l’Eglise dépositaire de la Parole de Jésus, a fait pour le mieux avec les évolutions contrôlées et les puissants du jour.
Elle est devenu une puissance ; elle aussi.
Depuis un siècle, les découvertes et les moyens de communication bousculent les échafaudage et les lois. Et même dans l’entre deux, faut-il rappeler Copernic et Galilée. C’est récent 500 ans depuis lesquels l’Eglise a fini par admettre que la terre n’était pas plate !
Que sommes-nous par rapport au Créateur, notre Père ? Jésus n’a cessé de nous dire : « aimez-vous les uns les autres ». Sur son amour qui nous dépasse, il a construit la Rédemption.
Je pense que nous sommes en pleine gestation de l’amour voulu par Dieu. « Faites cela en mémoire de moi, ainsi la Rédemption se poursuit-elle en donnant sens à nos vies.
Alors les lois des traditionalistes sont dépassées et ridicules dans un monde en marche pour une transformation inéluctable. La cerise sur le gâteau de notre pape, peut, pour certains, être la bienvenue pour répondre à d’humaines souffrances.
Nous sommes les artisans d’un monde en plein changement… Julios Beaucarne (La croix du 6 mai) doit avoir raison quand il affirme « qu’il faut savoir aimer à tord et à travers ».
Un peu clown, ce Julios… ! Avec la Samaritaine, il n’aurait pas déplu à Jésus !

N.B. Je trouve mon propos en marge de l’orientation du blog… Mais le blog c’est bien pour dire un peu et n’importe quoi !
Nous sommes des éphémères.

Publié dans Eglise

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article