Il se peut qu'il y ait des instances qui veuillent voir se mettre en place un conflit civil avec en conséquence des ventes d'armes massives

Publié le par Michel Durand

Il se peut qu'il y ait des instances qui veuillent voir se mettre en place un conflit civil avec en conséquence des ventes d'armes massives

Dans le monde entier, que de foules dans les rues, sur les places ! Ces gens interrogent les gouvernants. Les pauvres veulent de quoi vivre, tout simplement. Les moins pauvres veulent plus de justice et de Vérité. Mettre un terme à la corruption. En finir avec un capitalisme sans limites.

Apocalypse - « j’ai vu : et voici une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer, une foule de toutes nations, tribus, peuples et langues ».

Jean-Marie donne à réfléchir en ce sens.

 

Agir.

 

J'habite un village de France, comme il y en a tant et tant d'autres : Bonny-sur-Loire ; 2000 habitants.

Je regarde, j'observe… j'écoute attentivement – et que dit-on autour de moi (et un peu plus largement encore) ?… Bon nombre de personnes que je suis amené à côtoyer, à Bonny comme ailleurs – des personnes de tous âges, et de toutes conditions sociales, religions, etc. – dissent, pour une bonne part d'entre-elles, à peu près ceci :

« Nous souhaitons vivre, vivre vraiment, vivre pleinement, vivre mieux, beaucoup mieux ! plus librement, plus sereinement, et bien davantage en lien les uns avec les autres »… certaines de ces personnes redoutent la guerre ou le conflit civil qui pourrait naître ici en France – et peut-être malheureusement, et si nous ne faisons rien : assez prochainement.

D'autres de ces personnes, encore, souhaitent et désirent plus ou moins ouvertement ce conflit civil et meurtrier… folie et barbarie des hommes, des hommes sans aucune mémoire !

Je ne me lie, et pour ma part, d'aucune manière avec ces derniers.

Et là, me vient à nouveau la question, cette question qui ne cesse de me hanter ou tout du moins de m'interroger sérieusement depuis quelques mois ou bien quelques années : s'il existe un désir de guerre civile, ici, en France – d'où cela nous vient-il, qu’elle en est l'origine ?…

… de la désespérance ambiante, certes ; de la bêtise humaine, également… et de certaines instances encore, qui nous inspirent, qui nous imbibent, qui nous dirigent ou bien feignent de le faire : peut-être bien, encore. [note personnelle : les nouvelles dispositions par rapport aux indemnités chômage, vont accroitre les tensions. Voir ici.]

 

Soyons donc libres, les yeux ouverts !

La France se situe entre le troisième et le cinquième pays exportateur d'armes dans le monde.

Responsabilité énorme à bien des niveaux…

Toutefois : cela suffirait-il encore à la France ?… J'en doute… Je commence sérieusement à en douter.

Il se pourrait qu'il y ait actuellement des instances dirigeantes qui veuillent voir se mettre en place un conflit civil, ici en France, et en Europe peut-être aussi, avec par conséquent : des ventes d'armes supplémentaires et massives – et toute une industrie à relancer pour la reconstruction qui suivrait.

C'est vieux comme le monde, ce genre d'atrocité – mais à l'heure actuelle, ça pourrait peut-être bien être fatal pour tout une parie de l'Humanité.

Lorsque je parle 'd'instance dirigeante' : je ne parle pas là particulièrement du phénomène d'islamisme radical, mais de certaines – et je dis bien certaines, et certes non pas toutes – instances politiciennes dévoyées, industrielles, financières et parfois même mafieuses. Des instances reliées à un monde financier occulte et dont on ne sait curieusement rien ou pas assez, des instances en lien avec je ne sais qui, avec je ne sais quoi… des instances – quoi qu'il en soit – très opaques en la matière, et éminemment dangereuses pour la survie de nos sociétés.

Des instances tout à fait condamnables.

Et c'est pourtant ces instances – ces individus, ces personnes dirigeantes et décisionnaires aux vues folles et destructrices – qu'il nous faut savoir identifier formellement, mettre au grand jour, et juger en toute objectivité.

Il nous faut le faire à présent rapidement, très rapidement.

Il en va de la survie peut-être de nos sociétés.

De la survie de nos âmes ainsi que de nos consciences, certainement.

 

Jean-Marie Delthil.

À Bonny-sur-Loire, le 13 septembre 2016

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