Dans quelques jours, le souffle de la biennale 2011
Bientôt l’inauguration de la Biennale d’art sacré actuel 2011 :
le 22 septembre à 18 h 30.
Je reçois les artistes qui m’apportent leurs œuvres et j’enregistre les commentaires qu’ils me font à leur propos.
Que dire de cette cuvée ?
Il me faut attendre que tout soit en place pour avoir une opinion et me prononcer sur la qualité et l’originalité, l’expressivité de cette exposition. Je suis persuadé que rien n’est gagné d’avance et qu’il est bon d’être prudent. Tant que je n’ai pas une vue d’ensemble, je demeure dans le brouillard, voire une certaine inquiétude.
Par contre, ce que je peux dire immédiatement c’est qu’il n’est pas facile de traduire plastiquement le souffle. Souffle horizontal, celui qui donne la vie à la naissance et disparaît à la mort. Mais aussi Souffle vertical, car respirer situe l’homme debout. Avoir du souffle signifie l’élévation. Le Souffle devient spirituel. Porte-t-il au divin ?
Plusieurs plasticiens me parlent de leurs doutes.
Mais encore ?
Nous souhaitons que les BASA soient comme une photographie qui rende compte de la perception d’une réalité chrétienne religieuse, cette année, le souffle de l’Esprit. Là je pense que nous avons réussi. À nous, les visiteurs d’être à l’écoute de ce que l’Esprit souffle à nos oreilles et à nos cœurs ? Voir et écouter (entendre) les artistes ; ce qu’ils nous disent de leur création et que nous allons découvrir, entre autres, sur les enregistrements MP3 mis à la disposition des spectateurs – visiteurs.