Pour que le climat ne change pas, il faut changer de politique ; passer du productivisme inégalitaire à la contemplation partageuse
Le comité de rédaction de Quelqu’un parmi nous souhaite réfléchir sur les variations du climat
Votre avis ? Merci de nous écrire votre témoignage.
Sans cesse, dans ces pages je souhaite me mettre en face de ce qui se passe réellement dans ce que nous vivons. Mettons-nous et mettons les personnes que nous rencontrons en face des évènements. Soyons réalistes.
L’actualité la plus chaude en ce mois de septembre concerne les migrants. On ne peut l’oublier. Il est pourtant aussi question d’économie (source de migration à cause de la faim), de changement de climat, de productivisme qui demeure aveugle devant les méfaits occasionnés par un progrès purement matériel. Le Vivre ensemble est mis à mal par la constante recherche d’enrichissement, de croissance sans limite, de taux du PIB.
Pour le bonheur de l’humanité entière, il importe d’enrichir les recherches de vie simple, sobre… de suivre les chemins de l’écologie qui ne croit pas à la croissance verte, au développement durable, à la transition énergique, mais à la vertu que l’acceptation des limites. Chemin que la revue de la famille du Prado suit et pour laquelle je sollicite vos témoignages. Nous le savons, tout est lié.
Même si vous n’êtes pas lecteurs de Quelqu’un parmi nous, je vous invite à vous pencher sur vos claviers ; donnez votre témoignage et acceptez qu’il soit publié dans cette petite et humble revue.
Afin de demeurer dans l’actualité, à la suite de la méditation du numéro 223 sur la vie sobre, simple humble et pauvre selon la pauvreté tout évangélique que nous montrent, parfois sans le savoir, les militants de l’écologie intégrale, radicale, le comité de rédaction de Quelqu’un parmi nous souhaite donc réfléchir sur les variations du climat. Il fait de plus en plus chaud sur la planète Terre !
Et le quatrième trimestre de 2015 sera marqué par la 21e conférence à Paris sur le climat. Comment nous sentons-nous concernés par le changement climatique ?
Certains disent que pour que le climat ne change pas, il nous faut changer de système politique, économique et que pour cela il y a une inévitable limite à poser à la croissance matérielle. Faut-il, en conséquence, accepter le chômage pour limiter le réchauffement de la terre et les conséquences écologiques qui se produisent partout dans le monde provoquant, par exemple la montée des eaux et l’émigration climatique – quitter les basses terres inondées ?
Qu’en pensez-vous ? Merci de nous le dire.
Alors, à vos plûmes !
Ou clavier d’ordinateur.