Les migrations sont les conséquences des guerres, du dérèglement climatique, des graves inégalités sociales générant misère, famine, terrorisme.

Publié le par Michel Durand

cercle de silence de Saint-Nazaire

cercle de silence de Saint-Nazaire

Le cercle de silencence de Saint-Nazaire se formera le 15 avril pour la 150fois. Source de cette page.

Le 15 avril, un Cercle de silence se formera pour la 150e fois pour alerter sur les conséquences des politiques migratoires qui fabriquent des sans-papiers. On peut participer au Cercle de silence même quelques minutes, soyons 150 !

En janvier 2006, l’UCIJ s’est créé en réaction à l’aggravation de la politique migratoire et celle-ci s’oriente toujours dans le même sens vers le rejet des migrant·es. C’est pourquoi depuis octobre 2009 :

150 fois un cercle de silence se forme une fois par mois à Saint-Nazaire.

150 cercles pour appeler à l’action pour "l’égalité des droits pour tous les migrant·es que les raisons d’exil soient politiques, climatiques, économiques, ou personnelles…"

150 cercles pour rappeler à toutes et tous combien les politiques d’immigration demeurent inacceptables.

Après 150 cercles de silence, pouvons-nous nous arrêter ?

Les migrations sont les conséquences des guerres, du dérèglement climatique, des graves inégalités sociales générant misère, famine, terrorisme.

En 2023, le projet de loi "Asile et Immigration" de Darmanin a pour objectif d’expulser toujours plus.

Nous ne pouvons pas arrêter d’alerter !

Participons même quelques minutes au 150e cercle de silence pour être 150, le 15 avril entre 15 h et 16 h place des Droits-Humains

Michel Girard : Je vous adresse la lettre aux migrants n°54.

Il me semble que quelles que soient les décisions conclues et réalisées pour éloigner les migrants, de la part des autorités de divers pays  qui se renferment sur eux-mêmes, plus le nombre de réfugiés augmente. Ne faudrait-il pas utiliser tous les moyens en lois, décrets, humains (administratifs ou policiers, etc.), finances, pour recevoir et intégrer ces réfugiés dont la plupart ne cherche qu'à vivre mieux, dans un pays en paix et où l'expression est libre ?  Peut-être est-ce utopique ? Mais l'utopie est peut-être de mon âge !
cordialement,

Lettre aux migrants n° 54

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