Les papillons de la mer

Publié le par Michel Durand

Je vous parle souvent de Jean-Marie Delthil. Ses textes paraissent dans la catégorie "J.M. Delthil".

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Dans son roman  "Les Papillons de mer", Jean-Marie Delthil nous convie à un incroyable voyage – un voyage que vous n’auriez peut-être jamais pu imaginer, puisque vous allez vous trouver dans la "peau" d’un papillon qui fait le tour du monde… France, Liban, Tibet, Inde, Birmanie, Japon… puis l’Amérique, l’Afrique… et un retour dans l’Hexagone, au creux des montagnes dauphinoises.

 

Entre-temps, ce papillon aura fait de multiples rencontres, certaines amusantes et pleines d’humour, d’autres plus graves et inquiétantes ; quoi qu’il en soit, ce papillon aura vécu pleinement, et je peux vous dire qu’il n’aura vraiment rien à regretter de sa courte vie !

Le lecteur, au fil des pages de cet ouvrage hors normes et singulier, n’aura probablement pas perdu son temps, également…

A voir sur le site de Patricia Loison ; FR3, faut pas réver .

 

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Publié dans J. M. Delthil

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M
<br /> <br /> 8 septembre : appel des Jeûneurs contre le projet de loi sur l'immigration<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Un jeûne de protestation sera organisé contre le projet de loi sur l'immigration pour une dizaine de jours. Plus précisément celui-ci<br /> aura lieu à Paris du 8 au 18 septembre. A ce jour, le lieu du jeûne n'est pas encore définitivement déterminé. Mais nous passerons nos journées à coté de l'Assemblée Nationale (place Edouard<br /> HERRIOT) où nous installerons une tente et des banderoles.La commission des lois, entend le Ministre Eric Besson le 8 septembre à 15h, qui plus est devant une salle ouverte à la presse. C'est<br /> donc ce jour que nous avons choisi pour commencer notre action de jeûne. Nous organiserons, ce jour là, à 14h une conférence de presse, place Edouard HERRIOT, pour expliquer notre action.<br /> Nous appelons, à ce moment là, à un rassemblement.<br /> <br /> <br /> A partir du 8 septembre et jusqu'à la fin de l'examen du « projet de loi immigration » par la Commission des lois (dont les pouvoirs<br /> ont été renforcés par la réforme des institutions),nous jeûnerons à l’eau, à proximité de l’Assemblée Nationale, pour exprimer notre indignation et notre protestation contre<br /> les graves dispositions inscrites dans le texte du projet en question.Présenté comme la transposition de directives européennes, le projet de loi sur l'immigration, s’il est voté, accentuera<br /> les caractères restrictifs et répressifs du dispositif législatif.<br /> <br /> <br /> Il entraînera une profonde rupture dans notre législation concernant les migrants.Les mesures prévues auront pour graves conséquences :<br /> <br /> <br /> 1-d'une part, un bannissement des migrants, traduit par l’interdiction de retour en France et dans toute l'Europe pour une période de 2 à 5 ans qui va toucher des familles, des réfugiés ou<br /> encore des personnes qui demandaient protection.<br /> <br /> <br /> 2-d’autre part, une mise à l'écart par des conditions sévères d'assignation à résidence ou la création de « zones d’attente » sauvages, qui visent à exclure les migrants de l’espace public<br /> par un enfermement ou une mise sous surveillance.<br /> <br /> <br /> Ces pratiques, outre de les exclure du droit, placera les migrants entre les mains des préfectures et des services de police.Mais aussi, un recul très important du rôle des juges en matière<br /> de contrôle de l’enfermement et des mesures d’éloignement qui sera réduit à celui d’une simple « caisse d’enregistrement » des mesures de l’administration.<br /> <br /> <br /> Cette évolution, extrêmement inquiétante, qui de fait est une négation de toute justice est l'expression d'un Etat de police.Dans un Etat de droit toute personne, quel que soit son statut, sa<br /> condition, ou ses origines, doit pouvoir jouir de ses droits fondamentaux, dont celui du droit à la justice, du droit d’être entendu, du droit à une protection. En acceptant peu à peu de<br /> considérer les migrants comme des personnes de « moindre droits », nous perdons par là même une part de notre propre humanité.Ce projet de loi heurte profondément notre conscience.Devant la<br /> gravité des propositions de loi et pour assumer notre responsabilité de citoyens,nous prendrons le jeûne durant le temps de l’examen de la loi. Nous encourageons et soutiendrons toutes les<br /> initiatives citoyennes non-violentes pour obtenir de la Commission des Lois un projet de loi sur l’immigration respectueux des droits humains.<br /> <br /> <br /> Nous disons NON à une politique d’immigration fondée sur la peur et le repli sur soi.Nous disons OUI à un projet qui affirmerait l’audace républicaine d’une fraternité qui netient<br /> compte ni de l'origine, ni de la nationalité, ni de la religion ou de la couleur de la peau.N’ajoutons pas à la précarité des sans-papiers, d’autres humiliations en les<br /> criminalisant.<br /> <br /> <br /> Les jeûneurs<br /> <br /> <br /> Mail transmis par le Père Alain Richard, Franciscain Toulouse ; diffusez autour de vous ce<br /> message, unissons-nous tous contre cette loi d'un autre temps.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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