L’attitude du service d’autrui est la garantie d’une non piédestalisation sacerdotale qui place au-dessus de la mêlée. Comment servir ?

Publié le par Michel Durand

L’attitude du service d’autrui est la garantie d’une non piédestalisation sacerdotale qui place au-dessus de la mêlée. Comment servir ?

À l’heure d’aujourd’hui, pour parler de lutte contre les abus de toutes sortes, est généralement évoqué le processus synodale. Ce n’est plus un clerc du haut de sa chair qui oriente l’avenir mais une communauté, un groupe de personnes engagées dans une volonté de marcher ensemble.

Qu’en est-il, maintenant, dans la famille pradosienne ?

Je place en ce jour cette réflexion dans les pages d’En manque d’Église, parce que, me semble-t-il, elles entrent dans les réflexions du 19 juillet.

 

 

Celles-ci ont été lues par un grand nombre de personnes. Cela montre le désir de nombreux chrétiens catholiques de sortir de la théologie du caractère sacerdotal qui placerait le prêtre au-dessus du peuple.

Et, nous soutenons cette réflexion, alors que nous constatons que nombreux sont les nouveaux prêtres à se positionner comme sur un piédestal.

Ceci dit, je souhaite tout simplement, le plus objectivement possible, rendre compte de ce qui se vit au Prado à ce sujet. Cela passera par diverses vidéos déposées en ce lieu. Dans l’une des rencontres que j’espère pouvoir montrer avant la fin de juillet, on évoque le rôle de service du prêtre. En effet, son premier vêtement liturgique est le tablier du lavement des pieds. Le service au quotidien, et en tout lieu, est l’outil de la dépiédestalisation sacerdotale.

Écoutons l’introduction de Guy Rougerie, du Prado de France, à l’occasion de la rencontre des conseils et coordination de la famille du Prado.

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